Un nouveau site Web - europafrique - sert de base pour les consultations publiques sur la nouvelle Stratégie UE-Afrique conjointe.
Consultez aussi le dossier Euforic sur l' Afrique.
dimanche, décembre 31, 2006
lundi, décembre 18, 2006
Journées européennes du développement : appel à la bonne gouvernance
« La bonne gouvernance » était la pierre angulaire des Journées européennes du développement, organisées par la Commission européenne les 15-17 novembre dernier.
En raison du fait que les ONG ne soutiennent pas la définition restreinte de la Commission européenne sur les caractéristiques de la bonne gouvernance, elles se sont réunies entre elles pendant deux jours - préalable à la manistation de la CE - pour débattre la question avec leurs partenaires du Sud.
Lors des JED, les ONG ont présenté les conclusions de leur séminaire - intitulées « La gouvernance équitable et démocratique : la perspective du peuple » – à la DG Développement de la Commission européenne et au directeur d'UN-HABITAT. Des ONG du Nord et du Sud lancent un appel à l'Union européenne pour adopter un autre concept plus élargi de la gouvernance refocalisant sur les pays pauvres et leurs populations.
Par l'imposition d'un modèle occidental de la gouvernance et de la démocratie, tout en focalisant sur leurs propres intérêts commerciaux et de sécurité, les politiques UE actuelles ne répondront jamais aux besoins des populations des pays les plus pauvres. Selon les mots d'Ousmane Sy, ancien ministre de l'administration locale et régionale et des collectivités locales au Mali, « En Afrique, dans certaines conditions le changement est possible. La plus importante parmi ces conditions est la meilleure gouvernance fondée sur les expériences des Africains ».
La Commission européenne n'a ni initié une consultation propre, ni a-t-elle cherché la participation des parlements africains ou européens ou des organisations de la société civile dans la formulation d'un agenda propre sur la gouvernance. Ce manque de transparence a confirmé les craintes que l'UE continue à utiliser sa promotion de « bonne gouvernance » pour tester et imposer de nouvelles conditions et sa propre définition de la gouvernance sur les pays partenaires.
Malgré le fait que, dans sa dernière communication, la Commission européenne a élargi son concept de la gouvernance, abandonnant sa politique stricte sur la conditionnalité. Ce concept se concentre en particulier sur les défaillances de la gouvernance dans les pays ACP sans prendre en compte les maintes raisons pour lesquelles les États et les institutions ne sont pas capables de répondre aux attentes de leurs populations. Par example, tout en mettant l'accent sur la lutte contre la corruption en Afrique, ce concept ne considère pas le rôle des multinationales ou leur immixtion dans la formulation des agendas politiques nationaux, d'autant plus qu'il analyse les processus internationaux qui, à plusieurs degrés, aident à déterminer pourquoi et comment un État pourrait avoir des retards en termes de services sociaux, de bien-être, et dans son rôle de protecteur.
Il n'analyse non plus le besoin urgent de réformer la gouvernance de l'aide, malgré le fait que les bailleurs de fonds principaux, y compris la Banque mondiale, n'appliquent pas vraiment des procédures démocratiques et responsables. Si l'on souhaite que l'action contre la pauvreté et l'injustice soit plus efficace, il est essentiel d'améliorer la gouvernance au sein des institutions internationales.
Pour conclure, l'Union européenne n'est pas conséquente dans l'application de critères envers les pays partenaires. Par exemple, et malgré la réduction de l'assistance à quelques pays (comme le Zimbabwe) basée sur l'argument de manque de respect des droits de l'homme - tout en punissant principalement les segments les plus pauvres dans ces pays - elle ne prend pas de mesures comparables par rapport à la Tunisie ou la Chine, qui régulièrement méconnaissent les fondements de la bonne gouvernance tels que la liberté de l'expression ou des médias.
Consultez plus d'informations et de rapports des Journées européennes du développement.
Source : CONCORD Flash, novembre 2006.
En raison du fait que les ONG ne soutiennent pas la définition restreinte de la Commission européenne sur les caractéristiques de la bonne gouvernance, elles se sont réunies entre elles pendant deux jours - préalable à la manistation de la CE - pour débattre la question avec leurs partenaires du Sud.
Lors des JED, les ONG ont présenté les conclusions de leur séminaire - intitulées « La gouvernance équitable et démocratique : la perspective du peuple » – à la DG Développement de la Commission européenne et au directeur d'UN-HABITAT. Des ONG du Nord et du Sud lancent un appel à l'Union européenne pour adopter un autre concept plus élargi de la gouvernance refocalisant sur les pays pauvres et leurs populations.
Par l'imposition d'un modèle occidental de la gouvernance et de la démocratie, tout en focalisant sur leurs propres intérêts commerciaux et de sécurité, les politiques UE actuelles ne répondront jamais aux besoins des populations des pays les plus pauvres. Selon les mots d'Ousmane Sy, ancien ministre de l'administration locale et régionale et des collectivités locales au Mali, « En Afrique, dans certaines conditions le changement est possible. La plus importante parmi ces conditions est la meilleure gouvernance fondée sur les expériences des Africains ».
La Commission européenne n'a ni initié une consultation propre, ni a-t-elle cherché la participation des parlements africains ou européens ou des organisations de la société civile dans la formulation d'un agenda propre sur la gouvernance. Ce manque de transparence a confirmé les craintes que l'UE continue à utiliser sa promotion de « bonne gouvernance » pour tester et imposer de nouvelles conditions et sa propre définition de la gouvernance sur les pays partenaires.
Malgré le fait que, dans sa dernière communication, la Commission européenne a élargi son concept de la gouvernance, abandonnant sa politique stricte sur la conditionnalité. Ce concept se concentre en particulier sur les défaillances de la gouvernance dans les pays ACP sans prendre en compte les maintes raisons pour lesquelles les États et les institutions ne sont pas capables de répondre aux attentes de leurs populations. Par example, tout en mettant l'accent sur la lutte contre la corruption en Afrique, ce concept ne considère pas le rôle des multinationales ou leur immixtion dans la formulation des agendas politiques nationaux, d'autant plus qu'il analyse les processus internationaux qui, à plusieurs degrés, aident à déterminer pourquoi et comment un État pourrait avoir des retards en termes de services sociaux, de bien-être, et dans son rôle de protecteur.
Il n'analyse non plus le besoin urgent de réformer la gouvernance de l'aide, malgré le fait que les bailleurs de fonds principaux, y compris la Banque mondiale, n'appliquent pas vraiment des procédures démocratiques et responsables. Si l'on souhaite que l'action contre la pauvreté et l'injustice soit plus efficace, il est essentiel d'améliorer la gouvernance au sein des institutions internationales.
Pour conclure, l'Union européenne n'est pas conséquente dans l'application de critères envers les pays partenaires. Par exemple, et malgré la réduction de l'assistance à quelques pays (comme le Zimbabwe) basée sur l'argument de manque de respect des droits de l'homme - tout en punissant principalement les segments les plus pauvres dans ces pays - elle ne prend pas de mesures comparables par rapport à la Tunisie ou la Chine, qui régulièrement méconnaissent les fondements de la bonne gouvernance tels que la liberté de l'expression ou des médias.
Consultez plus d'informations et de rapports des Journées européennes du développement.
Source : CONCORD Flash, novembre 2006.
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Communication, dialogue et bonne gouvernance
Il est aujourd'hui temps que la communauté internationale prenne en compte la question de la Communication sur le développement, aspect clé de notre vie moderne mais négligé depuis trop longtemps. La communication est la frontière entre un succès et un échec. Un excellent projet mal communiqué est un échec. Un excellent projet non communiqué n'est rien: personne n'en entend parler et, plus important encore, personne n'entend parler de la politique menée ni de la raison pour laquelle vous êtes engagé dans cette action, et quel peut-être votre objectif.
Autrement dit, la communication est d’abord et avant tout une question de dialogue démocratique entre les donneurs et les receveurs, afin d'établir une approche commune d'un monde meilleur autour des mêmes principes, valeurs et objectifs. Il nous faut établir un consensus, faire prendre conscience aux gens de ce que nous faisons et pourquoi, et indentifier ce qui est attendu par le public et de ce qui est attendu par les décideurs politiques.
Ce dialogue implique de vraiment chercher à mettre en œuvre le principe d'appropriation. L'appropriation signifie respecter les choix et stratégies établis par les pays, et ne pas imposer des centaines de conditions à un État en décidant de l'extérieur ce qui est le mieux pour lui. Cela signifie aussi que nous devons prendre en compte la vue d'ensemble dont disposent les représentants du peuple démocratiquement élus, et le rôle essentiel que cela leur confère. Nous devons donc encourager un engagement plus grand des assemblées et parlements nationaux, et des autorités locales.
Nous devons également soutenir une large participation de tous les acteurs du développement d'un pays: la société civile, y compris les partenaires économiques et sociaux, comme les syndicats; le secteur privé; les ONG et les médias. Tous jouent un rôle vital dans la promotion de la démocratie, la justice sociale et les droits de l'homme. Autrement dit, la communication est donc le moyen de mettre en œuvre et de renforcer la démocratie même.
La communication, ce sont des instruments
Il faut aller bien au-delà de la gestion du cycle des opérations. Nous devons nous concentrer de plus en plus sur le soutien budgétaire. Le concept est simple: au lieu de contribuer à un projet spécifique et indépendant, visant un objectif particulier, nous devons soutenir le budget global d'un pays partenaire, sur la base d'un plan de développement global.
Cette approche a de nombreux avantages. Elle favorise une plus grande appropriation, réduit les coûts de transaction, facilite une meilleure utilisation de l'aide, par le biais des procédures des gouvernements, et contribue à l'établissement de compétences à long-terme et à leur durabilité. Le soutien budgétaire aura aussi un effet indirect sur une plus grande maturité du dialogue politique, conduisant ainsi les pays partenaires à prendre leurs responsabilités en termes d'objectifs, de moyens et de mécanismes de gouvernance. C'est la raison pour laquelle la Commission fera du soutien budgétaire sa méthode standard de mise en oeuvre.
La communication c'est la gouvernance
La communication ne peut exister dans un néant; elle peut seulement exister quand il y a bonne gouvernance.
Le développement, la réduction de la pauvreté, la stabilité et la sécurité dépendent tous de la capacité des États à exercer les fonctions publiques essentielles d’accès à la santé, l'éducation et la justice, de protection et de promotion des droits humains et des libertés fondamentales, et de gestion des ressources économiques et naturelles de manière transparente et responsable. L'augmentation conséquente de l'AOD prévue pour les années à venir, et en particulier de la part de l'UE qui a accepté de doubler son aide entre 2004 et 2010, ne sera efficace que si des progrès substantiels sont faits en matière de gouvernance démocratique.
Fondamentalement, la gouvernance est une question politique, liée aux fonctions clés d'un État et à sa capacité à servir ses citoyens. Toutes les questions de gouvernance, y compris l'analyse des situations et des tendances, les priorités et les engagements à réformer, devraient mener à un dialogue politique franc, ouvert et transparent entre tous les acteurs concernés dans un pays. Les aspects sensibles comme le respect, la protection et la promotion des droits humains, les principes démocratiques, l'observation de la loi ainsi que les problèmes de corruption doivent aussi être considérés de manière constructive.
Le contexte d'un pays et ses circonstances particulières doivent être convenablement prises en compte pour évaluer la situation, les tendances et les priorités de réforme. De nombreux pays doivent toujours atteindre les conditions de stabilité de base et obtenir un cadre institutionnel minimal pour pouvoir commencer à réduire la pauvreté et mettre en œuvre un programme de développement à long terme. Encourager les pays partenaires à s'engager résolument dans le chemin de la réforme signifie que le dialogue et les incitations financières sont préférés à la conditionnalité de l'aide et aux sanctions.
Quand il y a une volonté politique, ce qui est de plus en plus souvent le cas, il est crucial que les donneurs soutiennent politiquement et financièrement les réformes entreprises par les pays partenaires. C'est pour cette raison que la Commission a décidé de consacrer 2,7 milliards d'euros des ressources du 10 ème FED pour fournir un soutien supplémentaire aux pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique qui choisissent de s'engager dans une réforme de la gouvernance à travers des plans d'action adaptés, ambitieux et crédibles. Si ce n'est pas de la communication mise en œuvre au plus haut niveau, il est difficile de dire ce qu'est la communication.
La communication, c'est s'assurer que les contribuables des pays développés comprennent et soutiennent la nécessité de l'aide au développement, et pourquoi il est important de l'augmenter. La question est comment allons-nous sensibiliser les citoyens; quel type de message devons-nous fournir? Durant ces dernières années, le message se basait sur les OMD et l'éradication de la pauvreté. Et c'était juste. La compassion et la solidarité sont des valeurs fondamentales de notre société, en particulier en Europe.
Mais aujourd'hui, le développement est fondamentalement politique et constitue la meilleure réponse structurelle à long-terme aux défis de la globalisation. Et mon impression est que nous nous devons de convaincre nos citoyens que le développement est la réponse appropriée aux questions de migration, sécurité, protection des ressources naturelles de la planète et de stabilité internationale. Voici le type de message à communiquer.
Article par Bernard Petit, Directeur général adjoint, DG DEV, publié dans le numéro 17 (décembre 2006) de l'eCourrier - La lettre d'information en ligne de la coopération au développement ACP-UE.
Consultez aussi les dossiers Euforic sur la gouvernance.
Autrement dit, la communication est d’abord et avant tout une question de dialogue démocratique entre les donneurs et les receveurs, afin d'établir une approche commune d'un monde meilleur autour des mêmes principes, valeurs et objectifs. Il nous faut établir un consensus, faire prendre conscience aux gens de ce que nous faisons et pourquoi, et indentifier ce qui est attendu par le public et de ce qui est attendu par les décideurs politiques.
Ce dialogue implique de vraiment chercher à mettre en œuvre le principe d'appropriation. L'appropriation signifie respecter les choix et stratégies établis par les pays, et ne pas imposer des centaines de conditions à un État en décidant de l'extérieur ce qui est le mieux pour lui. Cela signifie aussi que nous devons prendre en compte la vue d'ensemble dont disposent les représentants du peuple démocratiquement élus, et le rôle essentiel que cela leur confère. Nous devons donc encourager un engagement plus grand des assemblées et parlements nationaux, et des autorités locales.
Nous devons également soutenir une large participation de tous les acteurs du développement d'un pays: la société civile, y compris les partenaires économiques et sociaux, comme les syndicats; le secteur privé; les ONG et les médias. Tous jouent un rôle vital dans la promotion de la démocratie, la justice sociale et les droits de l'homme. Autrement dit, la communication est donc le moyen de mettre en œuvre et de renforcer la démocratie même.
La communication, ce sont des instruments
Il faut aller bien au-delà de la gestion du cycle des opérations. Nous devons nous concentrer de plus en plus sur le soutien budgétaire. Le concept est simple: au lieu de contribuer à un projet spécifique et indépendant, visant un objectif particulier, nous devons soutenir le budget global d'un pays partenaire, sur la base d'un plan de développement global.
Cette approche a de nombreux avantages. Elle favorise une plus grande appropriation, réduit les coûts de transaction, facilite une meilleure utilisation de l'aide, par le biais des procédures des gouvernements, et contribue à l'établissement de compétences à long-terme et à leur durabilité. Le soutien budgétaire aura aussi un effet indirect sur une plus grande maturité du dialogue politique, conduisant ainsi les pays partenaires à prendre leurs responsabilités en termes d'objectifs, de moyens et de mécanismes de gouvernance. C'est la raison pour laquelle la Commission fera du soutien budgétaire sa méthode standard de mise en oeuvre.
La communication c'est la gouvernance
La communication ne peut exister dans un néant; elle peut seulement exister quand il y a bonne gouvernance.
Le développement, la réduction de la pauvreté, la stabilité et la sécurité dépendent tous de la capacité des États à exercer les fonctions publiques essentielles d’accès à la santé, l'éducation et la justice, de protection et de promotion des droits humains et des libertés fondamentales, et de gestion des ressources économiques et naturelles de manière transparente et responsable. L'augmentation conséquente de l'AOD prévue pour les années à venir, et en particulier de la part de l'UE qui a accepté de doubler son aide entre 2004 et 2010, ne sera efficace que si des progrès substantiels sont faits en matière de gouvernance démocratique.
Fondamentalement, la gouvernance est une question politique, liée aux fonctions clés d'un État et à sa capacité à servir ses citoyens. Toutes les questions de gouvernance, y compris l'analyse des situations et des tendances, les priorités et les engagements à réformer, devraient mener à un dialogue politique franc, ouvert et transparent entre tous les acteurs concernés dans un pays. Les aspects sensibles comme le respect, la protection et la promotion des droits humains, les principes démocratiques, l'observation de la loi ainsi que les problèmes de corruption doivent aussi être considérés de manière constructive.
Le contexte d'un pays et ses circonstances particulières doivent être convenablement prises en compte pour évaluer la situation, les tendances et les priorités de réforme. De nombreux pays doivent toujours atteindre les conditions de stabilité de base et obtenir un cadre institutionnel minimal pour pouvoir commencer à réduire la pauvreté et mettre en œuvre un programme de développement à long terme. Encourager les pays partenaires à s'engager résolument dans le chemin de la réforme signifie que le dialogue et les incitations financières sont préférés à la conditionnalité de l'aide et aux sanctions.
Quand il y a une volonté politique, ce qui est de plus en plus souvent le cas, il est crucial que les donneurs soutiennent politiquement et financièrement les réformes entreprises par les pays partenaires. C'est pour cette raison que la Commission a décidé de consacrer 2,7 milliards d'euros des ressources du 10 ème FED pour fournir un soutien supplémentaire aux pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique qui choisissent de s'engager dans une réforme de la gouvernance à travers des plans d'action adaptés, ambitieux et crédibles. Si ce n'est pas de la communication mise en œuvre au plus haut niveau, il est difficile de dire ce qu'est la communication.
La communication, c'est s'assurer que les contribuables des pays développés comprennent et soutiennent la nécessité de l'aide au développement, et pourquoi il est important de l'augmenter. La question est comment allons-nous sensibiliser les citoyens; quel type de message devons-nous fournir? Durant ces dernières années, le message se basait sur les OMD et l'éradication de la pauvreté. Et c'était juste. La compassion et la solidarité sont des valeurs fondamentales de notre société, en particulier en Europe.
Mais aujourd'hui, le développement est fondamentalement politique et constitue la meilleure réponse structurelle à long-terme aux défis de la globalisation. Et mon impression est que nous nous devons de convaincre nos citoyens que le développement est la réponse appropriée aux questions de migration, sécurité, protection des ressources naturelles de la planète et de stabilité internationale. Voici le type de message à communiquer.
Article par Bernard Petit, Directeur général adjoint, DG DEV, publié dans le numéro 17 (décembre 2006) de l'eCourrier - La lettre d'information en ligne de la coopération au développement ACP-UE.
Consultez aussi les dossiers Euforic sur la gouvernance.
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jeudi, décembre 14, 2006
Blogue de la conférence ACP-EU - forum pour la divulgation et le dialogue
Les 18 et 19 décembre, Euforic appuie le séminaire de l'ECDPM sur « L'Accord de partenariat de Cotonou : quel rôle dans un monde en mutation ? ».
Nous avons créé un blogue proposant les questions principales et des analyses de fond en ce qui concerne le rôle de l'APC dans un environnement de développement en mutation. L'objectif est de mettre au courant la communauté élargie des discussions - et de proposer une chaîne pour la mobilisation de commentaires et réactions additionnels.
A l'ordre du jour :
Nous avons créé un blogue proposant les questions principales et des analyses de fond en ce qui concerne le rôle de l'APC dans un environnement de développement en mutation. L'objectif est de mettre au courant la communauté élargie des discussions - et de proposer une chaîne pour la mobilisation de commentaires et réactions additionnels.
A l'ordre du jour :
- L'orientation politique plus marquée de la coopération ACP-UE contribue-t-elle au développement ?
- L'Accord de Cotonou est-t-il parvenu à élargir la participation des acteurs non étatiques ?
- Les APE sont-ils des instruments de développement et de lutte contre la pauvreté ?
- Dans quelle mesure le nouvel accent mis sur la performance et sur la rationalisation des instruments et de la gestion de l'aide contribue-t-il à améliorer l'efficacité et l'efficience des programmes de développement ?
lundi, décembre 04, 2006
Euforic s'associe avec Europe's World
Euforic vient de joindre le conseil éditorial du magazine politique indépendant Europe's World. Publiée trois fois par an, cette publication unique et pan-européenne propose aux décideurs de politiques et leaders d'opinion en toute l'Europe une plate-forme pour lancer des idées et pour forger des consensus sur des questions clés. Europe' s World reflète la diversité des débats politiques nationales à l'intérieur des États membres de l'UE, tout en mettant un accent spécifique sur les nouveaux États membres et les pays d'accession. Ci-dessous vous trouverez une list d'articles récents portant sur le développement (en anglais) :
Western NGOs and Islam: How to counter the image of "missionaries and spies"
Both practical and political pitfalls may sink the EU's disaster relief force
How Europe's Mediterranean policy went so badly wrong
If Doha dies, what then?
more...
Pour davantage d'articles et d'analyses sur les politiques européennes en matière de l'agriculture, des politiques étrangères, de la sécurité et de la défense, des transports, de l'énergie, etcétéra, veuillez visiter le site Web - http://www.europesworld.org.
Western NGOs and Islam: How to counter the image of "missionaries and spies"
Both practical and political pitfalls may sink the EU's disaster relief force
How Europe's Mediterranean policy went so badly wrong
If Doha dies, what then?
more...
Pour davantage d'articles et d'analyses sur les politiques européennes en matière de l'agriculture, des politiques étrangères, de la sécurité et de la défense, des transports, de l'énergie, etcétéra, veuillez visiter le site Web - http://www.europesworld.org.
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